Dans mes rêveries, il y avait eu des prairies, des pétales de fleurs mélangés aux pollens, papillons rouges et herbes folles, l’heure calme aux premières déclinaisons du jour.. Des faisceaux de soleil venaient enrubaner ce gros chêne où je t’imaginais adossée, un léger sourire aux lèvres..
Dans les fantaisies du vent nous nous serions laissés aller à la douce ivresse de ce havre…